A Paris avec Juanita E

C'est ma nouvelle préférée, une Admira Juanita E (pour "électronique"), une guitare classique préamplifiée que j'ai acquise à San Sebastian la semaine dernière. J'ai été à l'aise avec elle dès que je l'ai prise en main, son son est très agréable et le jeu est d'une grande facilité. On devrait bien trouver le moyen de l'utiliser en concert.

Une bonne adresse

L'hôtel Alameda, toujours à Zarautz, où nous venons de passer cinq jours. Un petit hôtel avec tout le confort, simple mais vraiment agréable, surtout les chambres du 4e étage - essayez d'avoir celle avec la terrasse ou celle au coin sous le toit. Le petit déj n'est pas fameux, mais il y a la boulangerie-café-journaux Errota à 100m, avec ses croissants, ses oranges pressées, ses deux jolies serveuses pas pressées dont la brune qui n'est jamais bien réveillée le matin avant 11h... Et puis, une superbe plage à 100m, la gare de Zarautz aussi à 100m pour aller à San Seb, plein de bars à pintxos, l'arrière-pays basque, tout ce qu'il faut pour passer du bon temps. Le wifi est plutôt aléatoire mais on arrive quand même à se débrouiller.

Basques et mexicains, toujours unis

En résidence pour quelques jours à Zarautz, pendant la Grande Semaine de San Sebastian, avec son épatant concours de feux d'artifice, ce soir après un superbe feu d'artifice de Valencia il y avait concert sur la place principale de notre petite station balnéaire de la côte basque espagnole.
Un concert qui nous rappelle de bons souvenirs locaux, et principalement pour Sonia.
Petite vidéo prise à la volée.

Quelle angoisse!

C'est sans doute parce que les habitants de la côte de la mort, en Galice, attiraient les navires qui passaient au loin afin de leur prendre leur cargaison, que les rues de la petite ville de Muros, sur une des nombreuses ria des environs de Santiago de Compostela, ont des noms évocateurs. Par exemple, cette "rue de l'angoisse" doit traduire celle des marins aux abords de la région. On a ensuite cherché en vain la rue des jeunes filles en pleurs, la rue de la nostalgie, la rue du marin échoué, la rue de l'hiver permanent ...